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Le diamant a sa facette noire : exporté illégalement, il finance des conflits sanlants, en Angola, en Sierra Leone ou en République démocratique du Congo.
Sous la pression des ONG et du Conseil de sécurité de l’ONU, l’industrie du diamant a accepté, en janvier 2003, le processus de Kimberley qui met en place un système de garantie anti "diamants du sang".
Le secteur diamantaire, y compris les joailliers et les détaillants, s’st engagé à appliquer un système d’autorégulation. Quand vous achetez un diamant, vous pouvez exiger un certificat prouvant qu’il ne provient pas d’une zone de conflit. L’industrie du diamant rechigne à respecter ce processus, alors insistez pour obtenir ce document. Cela donnera peut-être un peu de transparence à un secteur qui en manque terriblement.
Publié le 7 décembre 2004
Mis à jour le 7 décembre 2004
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