Ce fichier de police recense toute personne ayant participé de près ou de loin à une infraction. Mais certains employeurs s’en servent pour affiner leurs "enquêtes de moralité". Alors que les informations qu’il contient sont incomplète, non mises à jour et sujettes à diverses interprétations. Voir aussi dans Libération :
"Le fichage abusif de la police conduit au licenciement de quatre vigiles".