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Protection animale
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Le massacre animalier annuel français
Un recensement pour l’année 2008, "a minima" : 1 milliard d’animaux tués chaque année pour leur viande (bovins, ovins, volailles, équidés…), plus de 30 millions (39 espèces différentes) exterminés par la chasse, 2 325 000 meurent chaque année dans les laboratoires français. Les fêtes religieuses et festivités de fin d’année n’épargnent pas non plus les animaux : 200 000 moutons sacrifiés en une seule journée pour l’Aïd-el-kébir, 30 millions de volailles qui seront dépecés pour les fêtes de fin d’année...
Source : Animauzine
Publié le 20 janvier 2009
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L’alliance anticorrida fait survoler Nîmes durant la féria !
Dimanche 27 et lundi 28 mai 2007, à l’occasion de la feria de Nîmes, pendant les grandes corridas, l’Alliance Anticorrida a commandé une campagne aérienne dans toute la région et notamment le centre de Nîmes et les villages alentours où avaient lieu des jeux taurins, pour inciter le million de visiteurs qui se déplacent chaque année pour l’occasion à fuir les corridas. L’appareil a pu dominer les arènes pendant la corrida et les Jardins de la Fontaine pendant les joutes où de nombreux spectateurs ont pu prendre connaissance de leur slogan.
Anti-corrida.org
Publié le 31 mai 2007
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Les animaux réduits en viande
De compagnon d’infortune de l’homme dans le travail et, de manière seconde, de ressource nutritive, l’animal est devenu une marchandise comme une autre, un objet qui a le goût du sang. La voracité carnivore de l’occidental moderne est passée de 10kg de viande/an/pers en 1960 à 26kg en 1997 et devrait s’établir à 37kg en 2030. Selon un rapport de la FAO du mois de novembre, la contribution de l’élevage au réchauffement climatique est plus élevée en équivalent CO2 que celle du secteur des transports. Les gaz à effet de serre rejetés par le secteur, l’hémioxyde d’azote et le méthane, sont 20 à 300 fois plus nuisibles dans l’atmosphère que le CO2.
Extrait du n° 36 (février 2007) du journal La décroissance
Publié le 21 février 2007
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L’INRA au secours du foie gras : Enquête sur une expertise publique
Stop Gavage révèle la subordination de la recherche publique aux intérêts des producteurs et demande que soient mises en œuvre les réformes nécessaires pour assurer l’intégrité de l’expertise en bien-être animal. Antoine Comiti publie "L’INRA au secours du foie gras – Enquête sur une expertise publique sous contrôle de l’industrie" (Éditions Sentience, novembre 2006), où l’on apprend – sur l’exemple du foie gras et quelques autres – comment la recherche en bien-être animal est subordonnée aux intérêts des filières viande, avec l’appui du ministère de l’agriculture. L’ouvrage analyse les raisons structurelles conduisant à des expertises biaisées.
En savoir plus, sur le site Stop gavage
Publié le 1er décembre 2006
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Le dernier ours de la sous-espèce des Pyrénées abattu en France
La dernière ourse de souche des Pyrénées a été abattue hier par des chasseurs. La sous-espèce de l’ours des Pyrénées, pourtant protégée(1), vient donc de s’éteindre, malgré le petit ourson (de sexe inconnu) qu’elle a mis au monde au printemps dernier et dont les chances de survie sans sa mère sont compromises. L’ASPAS et le WWF vont porter plainte.
Lire la suite
Publié le 5 novembre 2004
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Le foie gras interdit en Californie à compter de 2012
La Californie renonce au foie gras. Le gouverneur de cet Etat, l’ancien acteur Arnold Schwarzenegger, a signé une loi, le 29 septembre 2004, interdisant la production et la vente de cet aliment à compter de 2012. Un bémol toutefois, ces sept années avant l’interdiction pourront être mises à profit par les producteurs afin de "développer et parfaire un moyen humain pour permettre à un canard de consommer du grain pour augmenter la taille de son foie par des moyens naturels".
En savoir plus
Publié le 12 octobre 2004
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Peau de lapin - Orylag : les bonnes œuvres de l’INRA
Des chercheurs de l’INRA ont "créé un nouveau produit" : un lapin nommé orylag1 (ou rex du Poitou) et breveté comme une vulgaire poudre à laver. But de l’opération : "une bouffée de nouveauté adaptée à l’évolution du marché de la fourrure". L’animal génétiquement manipulé possèderait des poils de qualité exceptionnelle. Depuis 2001 près de 80 000 peaux sont vendues chaque année (pour une vingtaine d’éleveurs titulaires du brevet). Et La demande accroît, paraît-il.
Lire la suite sur Animauzine.net
Publié le 9 juillet 2004
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